Re: WE Bataille Empire à Brive-la-Gaillarde les 13-14 avril 2019
Posté : lun. 15 avr. 2019 12:04
Bonjour à tous !
Bien rentré et un grand merci au club MARECHAL BRUNE pour cette grande première. Comme d’habitude la propagande jacobine essaye de faire croire à l’Europe que l’usurpateur est sorti victorieuse de cette campagne de printemps.
Mensonge éhonté !
Les empires et royaumes unis dans le même désir de rendre au peuple de France son roi ont fait reculer une fois de plus les armées du tyran vers Paris et libérant de nombreuses villes accueillant leur libérateur au son des TE DEUM !
Bientôt nous entendrons, sous les voutes de Notre Dame, résonner les chants divins pour rendre à Louis XVIII son trône…
Une fois la propagande passé (on ne diras pas laquelle…) voici un bref récit de mes rencontres avec mes adversaires et partenaires d’un jour. Ayant l’insigne honneur de succéder au commandement de Friedrich der Grosse, le pas cadencé au son des fifres et des tambours a permis de prolonger la réputation des soldats prussiens comme étant les meilleurs du monde (et hop encore un petit coup…).
PREMIER TABLEAU :
Le champ de bataille est constitué par une ville constituée de 4 quartiers entouré de champs clos. Mon adversaire « grille » tout de suite sa partie en 150 points, alors que je préfère « assurer » la première rencontre avec un 200 points. Ce sera une rencontre ! Au vu de l’ampleur de la ville, je décide prudemment de mener un enveloppement de celle-ci pour éviter de se ruer dans des combats de rue désastreux au vu de la quasi absence de troupes légère et de la faible qualité de mon commandement qui limite les ralliements issus d’échecs successifs contre les bâtiments. Sur mon aile gauche mon avant-garde qui devra envelopper la ville en traversant les champs et les chemins bordés de haies, sur la droite ma meilleure division de mousquetaires pour avancer en ligne et chasser l’adversaire sous le feu de mes canons de bataillons et d’une batterie de 12. Au centre, face au village, ma mauvaise division de mousquetaires qui occupera le français en menaçant la ville d’une possible attaque. Quelle ne fut pas ma surprise en voyant le français « snober la ville » et jouant son va-tout dans une attaque furieuse avec quasiment toutes ses troupes sur mon aile droite ! Autant dire qu’à gauche, ce sera une promenade de santé pour aller cueillir les objectifs, prendre la ligne de communication et occuper sans coup férir la ville qui ne sera défendue, au final, que dans un seul quartier. Malheureusement pour lui le français se rue sur moi, confondant vitesse et précipitations et négligeant les espaces entre ses unités. S’il est arrêté et repoussé par le feu des canons et de la mousqueterie son armée se transformera en une masse désorganisée qu’il faudra repousser sur mes hussards qui leur coupent la ligne de retraite et les attendent avec la batterie légère. Et c’est ce qui se passa… Jetons un voile pudique sur cette première scène qui permis de venger une partie de la soupe à la grimace de 1806…
A SUIVRE
Bien rentré et un grand merci au club MARECHAL BRUNE pour cette grande première. Comme d’habitude la propagande jacobine essaye de faire croire à l’Europe que l’usurpateur est sorti victorieuse de cette campagne de printemps.
Mensonge éhonté !
Les empires et royaumes unis dans le même désir de rendre au peuple de France son roi ont fait reculer une fois de plus les armées du tyran vers Paris et libérant de nombreuses villes accueillant leur libérateur au son des TE DEUM !
Bientôt nous entendrons, sous les voutes de Notre Dame, résonner les chants divins pour rendre à Louis XVIII son trône…
Une fois la propagande passé (on ne diras pas laquelle…) voici un bref récit de mes rencontres avec mes adversaires et partenaires d’un jour. Ayant l’insigne honneur de succéder au commandement de Friedrich der Grosse, le pas cadencé au son des fifres et des tambours a permis de prolonger la réputation des soldats prussiens comme étant les meilleurs du monde (et hop encore un petit coup…).
PREMIER TABLEAU :
Le champ de bataille est constitué par une ville constituée de 4 quartiers entouré de champs clos. Mon adversaire « grille » tout de suite sa partie en 150 points, alors que je préfère « assurer » la première rencontre avec un 200 points. Ce sera une rencontre ! Au vu de l’ampleur de la ville, je décide prudemment de mener un enveloppement de celle-ci pour éviter de se ruer dans des combats de rue désastreux au vu de la quasi absence de troupes légère et de la faible qualité de mon commandement qui limite les ralliements issus d’échecs successifs contre les bâtiments. Sur mon aile gauche mon avant-garde qui devra envelopper la ville en traversant les champs et les chemins bordés de haies, sur la droite ma meilleure division de mousquetaires pour avancer en ligne et chasser l’adversaire sous le feu de mes canons de bataillons et d’une batterie de 12. Au centre, face au village, ma mauvaise division de mousquetaires qui occupera le français en menaçant la ville d’une possible attaque. Quelle ne fut pas ma surprise en voyant le français « snober la ville » et jouant son va-tout dans une attaque furieuse avec quasiment toutes ses troupes sur mon aile droite ! Autant dire qu’à gauche, ce sera une promenade de santé pour aller cueillir les objectifs, prendre la ligne de communication et occuper sans coup férir la ville qui ne sera défendue, au final, que dans un seul quartier. Malheureusement pour lui le français se rue sur moi, confondant vitesse et précipitations et négligeant les espaces entre ses unités. S’il est arrêté et repoussé par le feu des canons et de la mousqueterie son armée se transformera en une masse désorganisée qu’il faudra repousser sur mes hussards qui leur coupent la ligne de retraite et les attendent avec la batterie légère. Et c’est ce qui se passa… Jetons un voile pudique sur cette première scène qui permis de venger une partie de la soupe à la grimace de 1806…
A SUIVRE