ordre attaquer et changement de formation
Posté : ven. 21 oct. 2022 19:56
Comment réglez-vous ce cas ?
Avec un ordre d'attaque, on doit avancer à pleine vitesse sur ennemi ou un objectif. Ok.
1°) Dans le cas d'une unité de cavalerie en colonne qui voudrait avancer vers une cavalerie ennemie en ligne. Est-il acceptable pour vous qu'elle se mette en ligne, de façon à se mettre en formation de combat plus efficace, pour le prochain tour ? Ou bien faut-il qu'elle avance bêtement à fond vers l'ennemi bien préparé ?
2°) Même question pour une infanterie : je m'attends à ce que ce soit la même réponse : une infanterie en colonne peut se mettre en ligne pour recevoir une charge éventuelle future ?
Dans les deux cas, ces changements de formations ralentissent un peu les unités. Ce n'est pas destiné à pervertir l'ordre et avancer moins, mais bien pour se mettre dans les meilleures conditions d'un combat futur. J'aurais tendance à considérer, pour ces deux cas, que ce sont des mouvements permis. Bien sûr, le risque est d'en abuser, et selon les personnes, on peut comprendre différemment ce qui est tolérable ou non.
Franck
Avec un ordre d'attaque, on doit avancer à pleine vitesse sur ennemi ou un objectif. Ok.
1°) Dans le cas d'une unité de cavalerie en colonne qui voudrait avancer vers une cavalerie ennemie en ligne. Est-il acceptable pour vous qu'elle se mette en ligne, de façon à se mettre en formation de combat plus efficace, pour le prochain tour ? Ou bien faut-il qu'elle avance bêtement à fond vers l'ennemi bien préparé ?
2°) Même question pour une infanterie : je m'attends à ce que ce soit la même réponse : une infanterie en colonne peut se mettre en ligne pour recevoir une charge éventuelle future ?
Dans les deux cas, ces changements de formations ralentissent un peu les unités. Ce n'est pas destiné à pervertir l'ordre et avancer moins, mais bien pour se mettre dans les meilleures conditions d'un combat futur. J'aurais tendance à considérer, pour ces deux cas, que ce sont des mouvements permis. Bien sûr, le risque est d'en abuser, et selon les personnes, on peut comprendre différemment ce qui est tolérable ou non.
Franck